Notre premier métier chez Victoire, c'est
l’œil

CHOISIR

Des collections de créateurs coup de cœur sélectionnées pour leur qualité et leur originalité. Auxquelles s’ajoute notre collection maison Victoire, des basiques aux coupes intemporelles confectionnés dans des tissus principalement italiens et des capsules hautes en couleurs aux imprimés et aux broderies exclusives.

ASSEMBLER

Jouer avec les contrastes, les créateurs, les imprimés, les couleurs, les broderies. Les silhouettes Victoire se distinguent par leur allure chic et ce brin de fantaisie. Nous aimons créer des looks en superpositions, à la fois très personnels et expressifs.

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Victoire, c’est une histoire de famille et de transmission qui cultive depuis plus 60 ans une certaine idée de la mode haut de gamme, joyeuse et anticonformiste. 
Ce qui nous anime ? La créativité, le « bon » goût du risque et de la couleur, l’exigence et la singularité plutôt que la quantité et l’uniformité. Ce chic parisien un peu impertinent porté par une lignée de femmes avant-gardistes et intrépides. Une jolie histoire de mode chic et joyeuse. 

conseiller

Écouter avec bienveillance, conseiller avec honnêteté. Nous connaissons nos clients et nous savons ce qui leur va.

Une histoire de famille depuis 6 décennies

1962

Catherine Chaillet crée Victoire, le premier « concept store » parisien.
« En 1962, je suis entrée pour la première fois chez Lalonde, négociant en tissu, Place des Victoires. Il me demande de transformer sa boutique, j’accepte en échange d’une totale carte blanche, Victoire est née ! » Catherine n’a aucune stratégie mais de l’instinct et du goût à revendre. La boutique est atypique : d’un côté, des basiques dans des matières et des coupes parfaites ; de l’autre, des aventures comme de petites choses imprévisibles. À l’époque, la plupart des grands noms de la presse sont dans le quartier et les journalistes passent en voisins. Le succès arrive dans une joie de vivre effervescente et un enthousiasme contagieux.

1970-80

Catherine Chaillet crée Victoire, le premier « concept store » parisien.
Victoire devient vite une référence pour les clients et pour les créateurs eux-mêmes qui rêvent de la Place des Victoires. En 1968, Antoine Riboud rachète la boutique et Françoise Chassagnac devient notre directrice artistique. À propos de Françoise, Inès de la Fressange dira : « Elle fait partie de ces gens qui ont aidé la mode à être la mode. » À l’époque, avec l’émancipation des femmes, on commence à substituer à la notion de mode la notion de style. On vient chez Victoire pour son large choix du sportswear, de l’habillé, juste équilibre entre la mode et le chic mais aussi pour apprendre à trouver son style, sous l’œil expert et bienveillant de Françoise, évidemment !

Montana, Jean-Paul Gaultier, Alaïa, Yohji Yamamoto, Mugler, Tarlazzi, Jil Sander, Donna Karan, Moschino, Prada, Gucci… « L’ère des créateurs ». Nous sommes dans les années 80 et Françoise ose et choisit des vêtements d’avant-garde, en privilégiant la créativité et la tendance. Les femmes découvrent chez Victoire des pièces de génies, l’art du « mix and match » et l’Italie !

1990

Dans les années 90, Gilles Riboud continue l’aventure en ouvrant la première boutique homme près du Palais Royal avec l’ambition de faire découvrir une vision très française du style à l’italienne. Chez Victoire homme, les chemises sont évidemment bleues ou blanches mais se déclinent aussi dans des couleurs et des matières infinies. Les cols et les épaules sont souples. L’écharpe nouée remplace la cravate. Les vestes sont dépareillées. 

1990

Dans les années 90, Gilles Riboud continue l’aventure en ouvrant la première boutique homme près du Palais Royal avec l’ambition de faire découvrir une vision très française du style à l’italienne. Chez Victoire homme, les chemises sont évidemment bleues ou blanches mais se déclinent aussi dans des couleurs et des matières infinies. Les cols et les épaules sont souples. L’écharpe nouée remplace la cravate. Les vestes sont dépareillées. 

2000-20

Forte de son succès chez l’homme, la marque Victoire se développe aussi chez la femme. C’est Florence Rouanet-Riboud, la nouvelle directrice artistique de la maison, qui donne le ton. « Début des années 2000, la mode était basique, on vivait en jean et en boots. Je trouvais que les boutiques n’étaient plus assez féminines, » raconte Florence. Elle suit son instinct comme Catherine et Françoise avant elle. Elle achète aux coups de cœur et renoue avec les fondamentaux. La couleur, un mélange de style, de créateurs exclusifs, un « bon » goût parfois osé mais toujours chic. Des mistigris, ces pièces qui détonnent et rendent les boutiques très vivantes.  

aujourd'hui

Depuis 2020, certaines boutiques ont fermé, la Covid est passée par là. Camille Riboud (la fille de Gilles) a repris le flambeau. On a ouvert le Cap Ferret… Avec Camille aux commandes - même si Gilles n’est jamais bien loin - les choses évoluent « piano piano ». « Nous proposons toujours une mode chic et joyeuse dans un esprit libre, explique Camille. Être soi-même, trouver son style, mélanger les couleurs et les imprimés sans idées reçues, s’amuser avec la mode… C’est ça, Victoire ! » Après tout ce temps, la passion et la joie restent intactes.
 

Bienvenue chez Victoire, une belle histoire de femmes, de famille et de transmission.
 

aujourd'hui

Depuis 2020, certaines boutiques ont fermé, la Covid est passée par là. Camille Riboud (la fille de Gilles) a repris le flambeau. On a ouvert le Cap Ferret… Avec Camille aux commandes - même si Gilles n’est jamais bien loin - les choses évoluent « piano piano ». « Nous proposons toujours une mode chic et joyeuse dans un esprit libre, explique Camille. Être soi-même, trouver son style, mélanger les couleurs et les imprimés sans idées reçues, s’amuser avec la mode… C’est ça, Victoire ! » Après tout ce temps, la passion et la joie restent intactes.
 

Bienvenue chez Victoire, une belle histoire de femmes, de famille et de transmission.